photo Conférence Henri MATISSE : La nostalgie de l’Âge d’or

Conférence Henri MATISSE : La nostalgie de l’Âge d’or

Manifestation culturelle, Peinture, Conférence - Débat, Foire - Salon

Saint-Léonard-de-Noblat 87400

Le 12/06/2026

Henri MATISSE : La nostalgie de l’Âge d’or - Le bonheur de vivre ou La joie de vivre Le Bonheur de vivre occupe dans la carrière de Matisse et plus généralement dans l’histoire de l’art moderne une position charnière. Matisse a déjà 36 ans lorsqu’il entreprend ce tableau, il y condense une grande part de son expérience nourrie du contact avec les modernes de la fin du XIXe siècle et, dans le même temps, élabore les grands axes de son œuvre future. Cette toile est devenue d’autant plus mythique que la fondation Barnes qui le possède en a longtemps interdit les reproductions et refusé les prêts jusqu’aux années 80. On a pu voir Le bonheur de vivre au musée d’Orsay en 1993-94.

photo Conférence Henri MATISSE : La nostalgie de l’Âge d’or

Conférence Henri MATISSE : La nostalgie de l’Âge d’or

Conférence - Débat

Saint-Léonard-de-Noblat 87400

Le 12/06/2026

Henri MATISSE : La nostalgie de l’Âge d’or - Le bonheur de vivre ou La joie de vivre Le Bonheur de vivre occupe dans la carrière de Matisse et plus généralement dans l’histoire de l’art moderne une position charnière. Matisse a déjà 36 ans lorsqu’il entreprend ce tableau, il y condense une grande part de son expérience nourrie du contact avec les modernes de la fin du XIXe siècle et, dans le même temps, élabore les grands axes de son œuvre future. Cette toile est devenue d’autant plus mythique que la fondation Barnes qui le possède en a longtemps interdit les reproductions et refusé les prêts jusqu’aux années 80. On a pu voir Le bonheur de vivre au musée d’Orsay en 1993-94.

photo Dernière symphonie

Dernière symphonie

Concert, Concert

LIMOGES 87000

Le 31/12/2021

Dans une Europe tourmentée depuis la Révolution de 1789, l’appel à la fraternité triomphe dans cette œuvre précurseur, faisant la part belle tant aux sentiments impétueux, qu’à une intériorité soumise aux passions de l’être, offrant au XIXe siècle son vent de romantisme, assoiffé d’absolu. La Neuvième Symphonie de Beethoven connaît un immense succès dès sa création en 1824 à Vienne. C’est une œuvre mythique au même titre qu’elle fait figure d’exception dans l’œuvre de Beethoven et dans l’histoire de la musique. Le compositeur réinvente l’univers sonore en explorant de nouvelles orchestrations. La symphonie se termine avec un final emblématique, le 4e mouvement (Presto) qui inclut un chœur sur le texte de Schiller et saisit son auditoire dans un élan de jubilation et de joie collective. A 20H. A l'Opéra - Grande salle. Tarif unique : 30€